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17 novembre 2006

L´alarme écologique mondiale

Le système écologique de notre planète menacé de dangereuse détérioration

A quand l´avènement du bon sens écologique chez l´être humain ?

« Celui qui ne sait pas écouter, devra apprendre par la perception » Proverbe allemand.

A la fin on se croirait au royaume de sourds et de muets, où le danger pourtant visible et même imminent de la dégradation menaçante et non moins journalière de notre environnement naturel, n´éveille, de la part de ses fauteurs, aucun signe de ralliement à la raison, à un meilleur respect de notre plus grande richesse : l´équilibre écologique naturel de notre milieu existentiel. Que se passe-t-il ? Serions-nous à ce point devenus idiots, ignorants, ou aveugles ? Ou les impératifs de production et de surproduction auraient-ils atteint un niveau qui déroulait devant nos yeux des logiques, des excès aux effets négatifs desquels les intérêts financiers ne prenaient plus aucune considération dans leurs empressements effrontés ?

La détérioration de la couche d´ozone atmosphérique entraînant l´augmentation de la température terrestre ambiante bat d´année en année des records inquiétants, voir le rapport 2005 de l´OMM : http://www.wmo.ch/web/Press/Press743_fr.doc . Et cependant, ni les grands pays les plus responsables de ces émissions atmosphérique néfastes et destructives ne semblent prendre conscience des réels dangers que convoieraient une détérioration climatique de notre équilibre écologique. Sans la participation de l´Amérique, la Chine et l´Inde, les accords de Kyoto ne s´appliquent qu´à une part incomplète des pays concernés, or ce problème concerne tous, particulièrement les grands pays industrialisés. Parce que notamment leur part d´émissions sont considérables.

Lors de la conférence de l´ONU sur l´environnement ouverte ce mercredi 15 Novembre 2006 à Nairobi, Kofi Annan, secrétaire général sortant prévenait : "Le bouleversement climatique menace de contrarier les efforts d’éradication de la pauvreté et de rendre plus incertain l’espoir d’atteindre les Objectifs du millénaire pour le développement". Et ce n´est pas parce que cela est dit par un noir que c´est faux. Si cette détérioration volontaire continue, les conséquences en seront douloureuses pour tous. Mais particulièrement pour les pauvres et toutes les sociétés qui ne sauront pas se défendre contre les inondations, les maladies pulmonaires et autres immunologiques. Et lentement, devant les catastrophes incessantes qui se multiplient sur la terre prouvant par là qu´il est grand temps de réagir, on se demande bien quand les occidentaux grands destructeurs de l´écologie mondiale prendront-ils enfin leurs responsabilités. Oui, quand ? Certains pays comme l´Allemagne, la France, la Grande Bretagne s´orientent consciemment vers des sources naturelles d´énergie  : vent, mer, soleil, chaleur souterraine. Et cependant, les grands fossoyeurs de notre air, de nos eaux, les grands émetteurs de particules nocives, ce sont les automobilistes, les camionneurs, les avions, les bateaux et les usines sans filtrages adéquats d´émissions. Et malgré la conscience écologique sensible en Europe, la reconversion du brûlage des hydrocarbures à des sources d´énergie moins nocives ne se fait que lentement. Cependant que de l´autre côté, la détérioration, elle, avançait à grands pas.

L´Afrique aura beau planter des arbres comme au Kenya ou ailleurs, tant que l´air défectueux ou cancérigène circule, tant que les effets de destructions causés à notre équilibre écologiques se transformaient en courants, en phénomènes généraux de réflexes de consommation ou de production entraînant des suites sur toute la terre ; toute cette bonne foi ne sera que goutte d´eau invisible dans la mer. Nous devons prendre conscience, tous, que nous sommes bien sur le même bateau, et que l´air détérioré ne sait ni se filtrer, ni se retenir sur son lieu d´origine. Cet air voyagera donc de l´Amérique en Afrique ou en Asie, et y portera la mort ou la maladie. Il en va de même pour l´eau. La Chine fait à ce propos la douloureuse expérience que production et écologie vont de pair, sinon on empoisonne sa propre population, et les soins de maladies et invalidités sont toujours des frais négatifs qui ruinent la fortune publique et la société. La grippe aviaire nous l´a enseigné : tout ce qui est infecté et circule naturellement peut nous apporter la maladie et la mort.

Beaucoup de gens, et surtout les occidentaux, devant la perspective que chaque chinois roulera en voiture dans quelques années, soulèvent des scénarios alarmants. C´est vrai que si les autos continuent à polluer aussi honteusement, les conséquences seront étouffantes, mais n´est-ce pas l´occasion de moderniser l´automobile ? Je le pense bien. Et ce n´est pas seulement une obligation occidentale, mais aussi chinoise ! Et même les africains devraient s´y mettre, au lieu, comme le font bien d´illuminés instruits : vouloir à tout prix, comme des aliénés sans imagination, et surtout sans se donner la peine de chercher et de trouver des solutions novatrices simples, efficaces et écologiques, reproduire aveuglément le discours arriérés ou décrié du maître. Sortir de la Matrix de l´empirisme du maître ou de sa propre médiocrité, faire preuve d´imaginaire et d´intelligence créative avertie. Plutôt que de répéter comme des tonneaux vides les méprises et abus décriés d´hier.

Ce qui importe, de nos jour c´est la réponse active que nous donnons aux questions suivantes : dans quel monde voulons-nous vivre, un apocalypse insalubre ou un paradis sain et naturel ? Pour quel idéal existentiel vivons-nous, au fait ? Sommes-nous prêt à souffrir l´inconscience et la médiocrité des autres, alors que nous-mêmes nous défendons de bien meilleures valeurs et vivons en conséquence ? Il est encore temps…peut-être pour ne pas sombrer dans l´irréversible. Cessez donc de vous taire et de faire semblant que les autres étaient obligés de vous offrir le paradis. Faites preuve de maturité et de responsabilité de votre propre sens de la vie. Rejoignez ceux qui se battent, c´est le meilleur moyen d´être sûr qu´on ne vous sert pas le mépris en place de l´espoir auquel vous avez droit. En fait, c´est un sens profond de la liberté que vous octroyez, et que vous exercez consciemment.

Musengeshi Katata

Muntu wa Bantu, Bantu wa Muntu

munkodinkonko@aol.com

   

 

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Commentaires
O
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S
Laisse donc ces incorrigibles invétérés courir à leur propre extermination, Katata ; ce n´est que lorsqu´ils se rendront compte qu´ils sont complètement devenus stériles et homosexuels incurables, qu´ils souffriront de cancers et de maladies dégénératives sans fin qu´ils se rendront peut-être compte de leur suicide collectif. Avec ces incurables nous avons dû attendre 400 ans pour que leur fameuse rationalité cartésienne comprenne qu´ avec l´esclavage ils se prêtaient à un barbarisme de la plus primitive humanité. Et cela ne les a pas empêché de revenir et faire une colonisation criminelle et injurieuse à tous les points de vue. Aujourd´hui, avec la francafrique, ils croient encore se couronner de gloire et de vertus civilisatrice et humaine ! Des petites intelligences arrivistes et sournoisement destructrices car plus illuminées et bassement prétentieuses que réellement humaine et raisonnées. Le pire est que malgré leurs richesses techniques, industrielles, financières ; malgré le pouvoir et les privilèges que leur propre système leur confère, ils se retrouvent au pied d´un mur d´échec cuisant et pour le moins douloureux : endettés comme des malfaisants et perclus de chômages inexcusables, leurs contradictions les mènent lentement à la dérision. Eux qui pensaient qu´avec leurs privilèges, leurs avantages aveugles et centralisés ils allaient dominer éternellement le monde ; ils sont surpris aujourd´hui que leur fameux bien être culturel n´avait produit que quelques rares enfants gras, idiots, incapables d´indépendance créative individuelle, des animaux de la consommation, en fait. Plus lourdauds, insolents et criminels que flexibles, équilibrés et hautement créatifs. Et pour combler le tout, ces occidentaux ne savaient plus satisfaire à leurs exigences démographiques pour assurer …leur propre avenir ! Ca tirait au blanc rageusement. N´eut été les étrangers, à savoir les africains et les arabes, cette race prétentieuse serait déjà en perdition. Déshabiller ses femmes quid pour vendre un morceau de chocolat, quid un tas de ferraille, ça porte décidément malheur. Ou les femmes blanches se seraient-elles rendues compte qu´il ne servait à rien de faire des enfants à des inconscients culturels invétérés ? Parce que ces enfants auraient besoin d´avenir, d´amour, de société positive : tout ce que ces illuminés détruisaient<br /> avec une rage des plus contradictoire ! Quand on pense qu´ils eurent le toupet d´aller en Afrique, de voler nos enfants pendant 400 ans, de détruire nos cultures et nos langues pendant 100 ans de colonisation, et avec la francafrique aujourd´hui de nous abreuver de leur fausse liberté et de leur fausse démocratie…c´est à peine si je me retiens de vomir, tant mon mépris est bileux ! <br /> Il est grand temps que les africains se rendent compte et s´organisent en conséquence pour se libérer de ce joug occidental de la plus honteuse malfaçon historique, autant du point de vue de la liberté que de celle de la démocratie. Une race qui avait construit sa liberté et son sens de démocratie en commençant par priver tout un continent, toute la race noire de liberté, de droits humains, de sa souveraineté sociohistorique légitime ; et qui s´évertuait aujourd´hui à piller et corrompre sournoisement ses victimes pour les conserver dans la soumission et la pauvreté…croire qu´une telle race soit encore vertueuse, capable de grandeur…pourquoi aurait-elle pris 600 ans pour s´en rendre compte ? Et pourquoi fallait-il avoir commis tant et tant de crimes ? Faut-il vraiment croire qu l´armada complice de la race blanche qui instaura sa liberté tout la privant à toute une race, en vouant celle-ci à un déni cruel et injurieux de droits humains, d´indépendance et de souveraineté sociohistorique… pendant 600 ans ; que cette race serait devenue, du jour au lendemain humaine et vertueuse ? Qui va donc réparer les crimes et les maux causés aux cultures noires ? Avec l´écologie, c´est exactement comportement : ce qui a été irrémédiablement détruit ne repousse pas tout seul. Et le criminel ne peut pas, tout en continuant de nuire, de vanter sa conscience et son prétendu bon sens, se donner le premier prix de l´humanisme et de la liberté sur terre. Shaka Bantou. J´ai dit, en toute bonne foi d´africain !
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