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23 décembre 2006

Hommage à Angela Davis

Une femme dans toute sa splendeur et son élégance militante

La grandeur d´aimer et de défendre la liberté

« Aux âmes bien nées, la valeur n´attend pas le nombre des années… » Corneille

Commentaire sur Afrikara (23 Décembre 2006 12H45)

Angela, ce n´est pas seulement une femme tout court, c´est la conscience et le sens humain dans sa plus élégante ovation. Et même si nos avis politiques divergent sur son passé communiste, elle a fait la preuve qu´elle ne se laissait pas enfermer derrière un formalisme fonctionnel quelconque, mais que ses ambitions humaines et politiques restaient nobles et libres. Ses admirateurs du monde entier et moi-même retiendrons en elle une compagne idéale dans la lutte contre l´injustice sociale, la discrimination et le racisme. Cette femme prend une place immuable auprès de femmes telles Kimpa Mvita, Aminata Traoré, et bien sûr les Pharaones noirs oubliées du Soudan. Ce qui prouve, pour tous ceux qui sont aveuglés par leur phallocratisme, que les femmes sont bien à la hauteur de leurs responsabilités sociales et humaines, qu´elles ont autant de caractère, d´endurance et de vision que les hommes. Et qu´il serait grand temps qu´on reconnaisse leurs talents, pas seulement au service de la masculinité, mais bien sur les voies de recherche et de construction d´un avenir d´harmonie, d´équilibre et d´équité. Parce que c´est là, dans cet idéal fervent que l´amour de la liberté et de la réalisation humaine nous offre ses meilleurs fruits.

Musengeshi Katata.

Muntu wa Bantu, Bantu wa Muntu.

www.realisance.afrikblog.com

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Commentaires
P
Sassou Nguesso hanté par deux petites princesses des ténèbres<br /> <br /> Le vrai portrait du Président Sassou.<br /> <br /> Plusieurs psychologues après avoir mener une enquête de moralité, sont arrivés à la conclusion selon laquelle, l’actuel président de la République du Congo est un psychopathe. Un déréglé qui trépigne de rage chaque fois que quelqu’un le dérange. A ce moment, il ne pense qu’à donner la mort dès qu’il pose sa tête sur l’oreiller. <br /> <br /> Habité par une cruauté diabolique, il ne trouve de sommeil qu’après avoir trouvé des stratégies pour mortifier et maltraiter tous ses adversaires. <br /> <br /> C’est un malade incurable au visage extrêmement séduisant. Mais lorsqu’il donne la mort, il ne ressent aucun remords. Il se réjouit au contraire a confié un des ses cousins à l’équipe des experts qui ont mené l’enquête dont nous révelons les quelques miettes qui nous sont parvenues. Pour des raisons de sécurité, nous taisons le nom de ce proche du président souffrant.<br /> <br /> Selon le même proche du chef de l’Etat, le président est un raté hanté par les deux petites princesses des ténèbres qu’on entendait vociférer chaque nuit dans la pénombre d’Oyo. Le président a toujours pensé que toutes les relations doivent être utilitaires. Tout ce qui n’est pas proche du coeur est superflu donc sans importance. De ce fait, accorder le pardon à son ennemi ou son adversaire est un signe de faiblesse. <br /> <br /> Dès l’adolescence, le président était persuadé qu’il vivrait plus longtemps que la nature a permis aux êtres humains. D’où son désir ardent de devenir Roi un jour. Un roi qui estime que la meilleure façon de plaire à son peuple c’est de le tenir en permanence en face de l’horreur et de la frayeur sous toutes ses formes. Le massacrer, le torturer, le laisser mourir de faim sans liberté d’expression ni de mouvement par l’intrigue. Bref le dénuder totalement.<br /> <br /> Pour nous prouver ses ambitions, dès l’âge de six, sept huit ans, le président actuel noyait les chats et les chiens du village dans les étangs alentour après les avoir emprisonnés dans des petits sacs. On entendait des cris pitoyables des pauvres bêtes. Et personne n’osait parler. Il était impossible de lui faire entendre la voix de la raison. Il n’écoutait personne et ne faisait confiance à personne. Tout le village pensait qu’une force métaphysique le poussait à ces crimes embryonnaires jugés mineurs au village. Chaque fois qu’il avait tué ainsi un animal de compagnie, il criait: « Je veux qu’on m’obeïsse! ». Tout le monde disait: « Voilà un homme! ». <br /> <br /> Tant que le président sera libre, il commettra toujours les atrocités de tout genre car maltraiter et tuer sont les dons des démons qui rodaient autour d’Oyo. <br /> Même s’il est permis de rêver, il est peu probable que monsieur le président quitte ce don. Inversement, ce don ne peut jamais le quitter même s’il fait croire qu’il est là pour sauver le Congo. Au contraire, c’est le Congo qui sera sauver s’il réussit de se débarrasser de Sassou et le mettre face à face à la justice pour répondre de ses crimes comme Marc Dutroux en Belgique. <br /> <br /> M. BABAKALA
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