Arrêter, malheureux ; assassiner la presse, c´est se priver de liberté et d´avenir !
En Afrique, et particulièrement au RDCongo, la presse qui réfléchit, critique et informe sur les malversations et les flagrants manquements du pouvoir est intimidée, mise aux arrêts ou assassinée tout simplement. Ce faisant, les pouvoirs incapables et les satrapes aliénées ont la main libre pour perpétrer la corruption, la gabegie administrative sous lesquels des intérêts contre nature sont entretenus au détriment de ceux légitimes de leurs peuples et de leur avenir. Ce genre de « démocratie » est-il acceptable ? Ou ouvre-t-il sur une véritable démocratie de libertés ?
« Celui
qui prend mal la critique a quelque chose à cacher » Helmut Schmidt,
publiciste, ex chancelier socialiste allemand
Ce qui se passe aujourd´hui en Afrique rappelle à s´y méprendre la logique
occidentale primitive selon laquelle il faut prendre quelqu´un en esclavage d´abord,
le priver de droits et de liberté quitte un jour à prétendre, en le libérant
de ses fers, qu´on est civilisé et défenseur de liberté et de démocratie. Cette
logique à la renverse employée jadis pendant 400 ans envers la race noire par
les esclavagistes et les colonialistes européens semble, dans un analogisme
castrant et déroutant du progrès et de la prospérité sociale, être devenue l´arme
d´oppression favorite de l´élite incapable et corrompue se refusant à remplir honnêtement et
valablement les devoirs pour lesquels il a été élu !
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2.Pascal Ntambwe Nsenga de Congotribune menacé et inquiet
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