Polémique autour de la caricature de Mohamet.
Polémique autour des caricatures du prophète Mahomet
Commentaire Musengeshi Katata du 05.02.2006 à 21h 47 sur Grioo.com
Remerciement à tous mes amis, j’entends tous ceux qui de bonne foi détestent l’injustice, luttent et aspirent à une meilleure humanité de bien plus universelle définition de la liberté. Ceci dit, j’ai eu à parcourir le débat ; il y a beaucoup de gens qui profitent de cette occasion pour brouter à voix haute leur frustration, leur intolérance, leurs insuffisances et de mettre en exergue leur croyance étroite et bornée. Bon. Le sujet s’y prête et cependant, à mon avis le bon sens, et je pense qu’il est autant parti de l’article lui-même que de certains commentaires éloquents qui ont eu lieu ici. Mais ne nous faisons aucune illusion, surtout pour ceux qui essaient de se cacher derrière leur religion ou leur parti pris occidental ou islamique pour exercer une adversité qui ne mène nulle part : ni la religion chrétienne, ni l’islam ne sont des enfants de coeur. Et je suis assez africain et noir pour en témoigner. Ce théâtre actuel de fausses démonstrations de passionnément islamique enragé cache autre chose que la saine foi : ils regorge plutôt de frustration et de rébellion contre l’Islam fondamentaliste et clérical des mullah qui depuis des siècles confondent réalisation d’harmonie dans lequel le croyant réalise ses rêves matériels, intellectuels, créatifs avec une croyance orgiaque abrutissante et primitive qui, pour tromper les exigences du 21e siècle, rêve encore de domination planétaire. Sans industrie, sans armement individuel, sans même rendre justice à la réalisation individuelle de bien-être, cette fausse vue religieuse s’enferme, à la longue, à l’impasse du muezzin affamé. 60% des intellectuels du monde arabe sont au chômage ; l’Egypte ne vit que l’aide américaine et du tourisme dénudé. Quant aux autres, aliénés par l’occident et aveuglés par les mullahs, ils tardent à comprendre que c’est l’industrialisation et la réalisation sociale individuelle qui est la plus belle prière d’Allah. Et pour fondé que soient ces fumées de protestation, ils ne peuvent que s’adresser à l’hégémonisme occidental et ses méthodes intrigantes pour sucer le sang des autres et les transformer en cobaye de son industrie et de ses finances. Mais croire qu’on doit aller aux palmes parce que quelqu’un d’autre pense ou s’exprime d’une autre façon ; si c’est réellement tout le contenu de ces infantiles protestations, alors nous avons affaire à la religion la plus primitive, la plus totalitaire et la plus bornée qui soit. Elle n’a pas encore appris à définir la liberté et la réalisation comme étant des devoirs réels actifs et pratiques du croyant. Même le Kimbanguisme les dépasse de loin. Et c’est dire qu’elle est un danger pour tout le monde, pour toute l’humanité. La liberté d’expression est sacrée pour tout être humain. Et caricaturer sa pensée ou son humour est un bien légitime qui en découle. Si l’islam ne sait pas se faire à ce droit démocratique universel, elle n’a qu’à rester chez elle, dans ses murs. Personne ne la dérangera. Or l’histoire a prouvé, et particulièrement l’histoire de l’Afrique, que ces islamistes sont des plus barbares qu’il soit : en hordes serrées, ils envahirent nos terres, ils castrèrent nos arrières parents, les prirent en esclavage pendant un millénaires durant lequel ils détruisirent nos cultures et nos structures sociales, et pour couronner le tout, ils nous imposèrent la circoncision des femmes. Plus barbare qu’un musulman sur terre, il n’y a pas ; croyez moi. Qu’ils cessent donc de monter au plafond et de parler de sainteté du prophète. Il n’y a qu’un imbécile pour avaler ce genre d’insanités. MK Muntu wa Bantu, Bantu wa Muntu. www.realisance.afrikblog.com